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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 06:23

Une étude, conduite par Mme Chantal Enguehard en relation avec l’Observatoire du vote, est la première recherche quantitative très sérieuse sur la dématérialisation du vote dans les élections politiques en France.

 

Elle a été menée à partir de données provenant de 20.051 bureaux de vote, dont environ un tiers pratiquant le vote électronique, dans 46 communes de référence, dont 24 utilisant des ordinateurs de vote, lors des dernières élections présidentielles (premier et second tour), législatives (1er tour) et municipales (1er tour).

 

Autant dire que l’énormité de la taille de l’échantillon rend l’étude statistiquement incontestable.voir l'étude ici!!! ou !!!

 

Entre 4 et 8 fois plus « d’erreurs » d’émargement avec le vote électronique.

 

Les résultats obtenus montrent en premier lieu que le nombre de bureaux « en erreur », c’est-à-dire où le nombre de votes n’est pas égal au nombre d’émargements, est bien plus élevé parmi ceux qui utilisent les machines à voter que dans ceux qui ont recours à l’urne traditionnelle.

Globalement, sur les quatre tours d’élections étudiés, on relève ces erreurs dans près de 30% des bureaux procédant au vote électronique (29,8%) contre 5,3% de ceux utilisant l’urne.

Il est extrêmement préoccupant de constater que la mise en place en France de bureaux de vote avec ordinateurs coïncide avec le recours à une société de service américaine (LEVEL 3 COMMUNICATIONS) chargée… de centraliser les résultats électoraux français dans son centre de Denver* au Colorado !

 

Le système (matériel, programmes, circuits intégrés supplémentaires, documentation) doit être ouvert. Il doit pouvoir être inspecté à n'importe quel moment, même s'il est protégé par le secret industriel, car les systèmes propriétaires (au code source definition gardé secret) que l'on ne peut pas vérifier sont fortement suspects.

http://interstices.info/upload/vote/a-vote-5.jpg

 

*Là où les pièces d’Amero auraient été frappées…

 

3) SCANDALEUX – Y-A-T-IL LEVEE DE BOUCLIER ? ETIEZ-VOUS AU COURANT ?

 

Les résultats électoraux produits par une société américaine ?

 

Extrait: Qui est la mystérieuse société qui produit désormais les résultats électoraux français officiels ?

Est-il normal et sain pour la démocratie que le ministère de l’intérieur garde le silence sur l’identité de la société prestataire qui gère désormais nos résultats électoraux officiels ?

Pour l’UPR, la réponse est non. Nous avons donc décidé d’en savoir plus, ce qui n’est pas très difficile puisqu’un simple logiciel gratuit « whosip.exe » permet à tout internaute de découvrir le pot aux roses. (télécharger whosip ici, copiez-le dans C: puis, dans Accessoires > Invites de commandes > tapez cd > Enter puis : whosip http://www.interieur.gouv.fr/ > Enter )

 

Vous obtiendrez ce résultat autant spectaculaire que révoltant, s’agissant du ministère de l’intérieur de la République Française :

 

WHOIS Source: ARIN

IP Address: 8.12.199.126

Country: USA – Colorado

Network Name: LVLT-ORG-8-8

Owner Name: Level 3 Communications, Inc.

From IP: 8.0.0.0 To IP: 8.255.255.255

Allocated: Yes

Contact Name: Level 3 Communications, Inc.

Address: 1025 Eldorado Blvd., Broomfield

Email: ipaddressing@level3.com

Abuse Email: abuse@level3.com

Phone: +1-877-453-8353

Fax:

 

Sauf erreur, cela signifie, en clair, que « le système intranet » du ministère français de l’intérieur est hébergé par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS, situé à Denver, Colorado, USA

 

allez voir le conseil d'administration de level3...(ici) sans parler que certains membres sont issus d'une compagnie énergétique (nucléaire) () Cette holding faisant partie de cette entreprise là http://en.wikipedia.org/wiki/Berkshire_Hathaway dont les principaux investisseur : bill gates, warren buffet, et goldman sach....

 

Donc les comptages des votes pour les élections française seront réalisés par une entreprise américaine où siège au conseil d'administration des elites proches des USA, des banquiers, bill gates, goldman sach et warren buffet....

 

http://www.zdnet.fr/zdnet/i/edit/ne/2007/04/39368897/2-machine-a-voter-ivotronic.jpg


Une procédure légale insuffisante

 

Aujourd’hui, la procédure mise en place par les pouvoirs publics ne permet pas de garantir le respect de ces critères. Le ministère de l’Intérieur, à l’origine du cadre de fonctionnement de ces ordinateurs, délivre les agréments aux constructeurs en se basant entièrement sur le rapport rendu par l’organisme d’inspection (Bureau Veritas ou Ceten-Apave).

Celui-ci examine UN ordinateur à un moment donné et non TOUS les ordinateurs fabriqués. En fait, cet organisme doit simplement vérifier la conformité du modèle de la machine à un cahier des charges qui semble plutôt répondre à des besoins fonctionnels (fiabilité de l’électronique, longévité, facilité d’utilisation) qu’à de réelles contraintes de sécurité.

Il n’y a aucune obligation d'examen approfondi du programme ou des documents et aucune vérification de l’intégrité des personnes intervenant sur ces ordinateurs.

 

Il n'est pas clair de savoir si l'organisme a la possibilité d'examiner le code source du logiciel de la machine, car celui-ci est protégé par le secret industriel et commercial. Cela dit, examiner le code source ne garantirait pas de détecter une fraude bien réalisée. Et des modifications dites « mineures » concernant l'entretien ou la correction de bugs ne font l'objet d'aucun examen complémentaire.

Il n’y a pas non plus de procédure particulière de scellement ou de surveillance des ordinateurs entre les scrutins.

 

Lorsque les ordinateurs sont loués, la responsabilité du stockage revient au prestataire de services (souvent la société importatrice des ordinateurs). Aucune procédure spéciale n’est exigée pour garantir avant utilisation l’intégrité des ordinateurs « certifiés ». Les municipalités utilisatrices, quant à elles, doivent simplement se fier à l’agrément du ministère.

 

Lors d’une élection, l'ordinateur imprime à l’ouverture du scrutin un ticket indiquant un checksum definition (somme de contrôle) : deux séries de 8 chiffres ou lettres (c'est-à-dire deux nombres 32 bits exprimés en hexadécimal). Les assesseurs vérifient qu'ils sont identiques à ce qu'indique le manuel d'utilisation, mais n’ont en réalité qu’une illusion d’avoir vérifié quelque chose, puisque ce cheksum est imprimé à partir du logiciel de la machine qu’il est censé garantir.

 

Malgré la forte opposition de scientifiques spécialistes de la sécurité informatique et la mobilisation document externe au site croissante des citoyens, il apparaît extrêmement difficile de remettre en cause l’utilisation des ordinateurs de vote, que le pouvoir politique continue à soutenir.

 

Nous constatons qu'après plus d'une décennie d'errements, certains Etats ont quand même commencé à prendre conscience des problèmes posés par ces ordinateurs :

 

-l'Etat de Californie a décidé de rendre obligatoire l'impression d'un bulletin papier vérifié par l'électeur à partir de juillet 2006 ;

 

-en Irlande, à cause des protestations de la population et des spécialistes en informatique de la Irish Computer Society, la commission indépendante nommée par le gouvernement a déclaré en décembre 2004 être incapable de recommander l'utilisation des ordinateurs de vote pour les prochaines élections (il s'agissait d'élections locales, européennes et d'un référendum) et a finalement conclu en juillet 2006 que la mise en œuvre de mesures supplémentaires conditionnerait l’utilisation de ces machines (notamment le cryptage des votes, un examen indépendant, des tests rigoureux…).

 

Sur le même sujet lire aussi: ici et !!!

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